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    8ème édition 2016
puce-3
EN PARTICULIER Programme 2016 - (1.8 Mo) Adobe
       
   
Samedi - 1   puce-1 Présentation de la Revue de littérature et de réflexion - 18h15 à 18h45
   
   
Samedi - 2   puce-1 Destinées singulières au Château de Versailles - 18h55 à 19h25
   
pucemoyenne
« Présentation de la Revue de littérature et de réflexion » par
 
 

Yahia BELASKRI

 
 
Samedi 3 septembre Salle du Cercle l'Haÿssien des Arts De 18h15 à 18h45

 

puce-1 Yahia Belaskri, Écrivain, journaliste.
Icone livre « Apulée n°1 — Galaxies identitaires »aux Éditions Zulma, 2016.

Prix littéraire Paris Rive gauche.

Comité de rédaction : Yahia Belaskri, Jean-Marie Blas de Roblès, Hubert Haddad, Abdellatif Laâbi, Catherine Pont-Humbert.

losange Suivi de dédicaces en Salle des Fêtes.

 

 
     
 
Yahia Belaskri

Yahia Belaskri,

Yahia Belaskri est né à Oran (Algérie). Après des études de sociologie, il est responsable des ressources humaines dans plusieurs entreprises algériennes puis se tourne vers le journalisme. Un an après les émeutes d’octobre 1988, il décide de s’installer en France.

À travers de nombreux articles, des essais et des nouvelles ainsi que sa participation aux travaux de recherches sur la Mémoire de la Méditerranée, il pose un regard critique empreint d’un profond humanisme sur l’histoire de l’Algérie, de la France et des rapports si conflictuels entre ces deux pays.
 
Pour ce journaliste algérien installé en France depuis les émeutes de 1988, écrire est un acte de liberté. A travers de nombreux articles, essais et nouvelles, il pose un regard critique empreint d’un profond humanisme sur l’histoire de l’Algérie, de la France et des rapports si conflictuels entre ces deux pays. S’il sait dépeindre la misère, la violence des guerres civiles en Algérie, il ne sombre jamais dans la fatalité. Yahia Belaskri croit avant tout dans la force de l’homme, la capacité des peuples à écrire leur histoire.

Si tu cherches la pluie, elle vient d’en haut évoque les destins tragiques d’un homme et d’une femme rattrapés par les violences religieuses et le poids de l’histoire algérienne récente : une plongée sans complaisance dans la décennie noire, ce roman lui a valu en 2011 le Prix Ouest France-Étonnants Voyageurs. 
En 2012, paraît Algéries 50, co-dirigé avec Elisabeth Lesne. L’année de la célèbration du cinquantenaire de l’indépendance, confier l’écriture d’Algéries 50 à 25 écrivains est une manière de contourner le discours officiel et de rendre le sort de l’Algérie à son peuple. Cinq ans après les premières révoltes du Printemps arabe, Yahia Belaskri apporte une dimension historique mais aussi humaine à ces événements désormais historiques. Pour lui l’écriture est ici un moyen de s’approprier l’histoire : " Ceux qui n’ont pas les mots périssent. Ceux qui les possèdent arrivent à se reconstruire ". 
Critique à l’égard du « grand récit » qui réduit depuis 1962 l’identité algérienne à l’arabité et à l’islam, son roman souhaite rappeler la pluralité de l’Algérie : Une longue nuit d’absence exhume l’héritage oublié « d’Oran l’espagnole ». Il participe en 2013 à l’ouvrage collectif Pourquoi Camus ? paru à l’occasion du centenaire de la naissance de l’auteur. Il revient sur l’impact de l’œuvre du romancier, qu’il décrit comme "l’un des écrivains-phare de la terre algérienne". Début 2014 paraît Haïti en lettres, récit autobiographique et sensible de son séjour en Haïti en 2012 qui s’est achevé par le festival Étonnants Voyageurs la même année.

Fin 2014, Yahia Belaskri nous est revenu avec Les Fils du Jour, une saga algérienne récompensée par le Prix Beur FM 2015 où il entreprend une incursion violente dans l’Histoire de l’Algérie. Sous sa plume se déploie l’Histoire du pays, du point de vue algérien, de la pénétration coloniale jusqu’à la reddition de l’émir Abdelkader, accompagnée de son lot d’injustices, de violences et de barbaries. Il dresse un tableau historique et spatial tout en dessinant les contours d’un amour transfrontière, transculturel et transreligieux avec une parfaite maîtrise du tempo et du sujet. À travers son personnage principal, El’hadj, il défend un Islam lumineux qui considère la vie comme sacrée, qui prône un métissage culturel des identités et des Hommes, qui transcende et dépasse les questions de couleur et de tribu. Les Fils du jour s’inscrit dans la position humaniste radicale de l’auteur.

Source : http://www.etonnants-voyageurs.com/spip.php?article7275 Icone lien externe

Facebook : https://www.facebook.com/yahiabelaskri/ Icone lien externe

  Appulée de Yahai Belaskri

Apulée n°1 — Galaxies identitaires

Revue de littérature et de réflexion

Cette nouvelle revue annuelle de littérature et de réflexion initiée par Hubert Haddad s’engage à parler du monde d’une manière décentrée, nomade, investigatrice, loin d’un point de vue étroitement hexagonal, avec pour premier espace d’enjeu l’Afrique et la Méditerranée.
 
C’est autour du nom prestigieux d’Apulée – auteur berbère d’expression latine qui, avec l’Âne d’or ou les Métamorphoses, ouvrit au IIe siècle une extraordinaire brèche de liberté aux littératures de l’imaginaire – que se retrouvent ici écrivains et artistes venus d’horizons divers. Romanciers, nouvellistes, plasticiens, penseurs et poètes des cinq continents  auront la part belle pour dire et illustrer cette idée de la liberté, dans l’interdépendance et l’intrication vitale des cultures.

Avec ce numéro inaugural, c’est sur le thème des Galaxies identitaires que la revue Apulée entre en scène pour tenter d’en finir avec les enfermements idéologiques, les replis élitistes et les fanatismes aveugles. Et la création et la réflexion ont beaucoup à dire sur les identités…


Comité de rédaction

Yahia Belaskri, Jean-Marie Blas de Roblès, Hubert Haddad,
Abdellatif Laâbi, Catherine Pont-Humbert.

Éditeur : http://www.zulma.fr/ Icone lien externe

   
 
 
     
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