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    7ème édition 2014
puce-3
CONFÉRENCES Programme 2014 - (1.33 Mo) Adobe
  Samedi - 1   puce-1 Les mots de la diplomatie face aux maux du monde - 14h00 à 14h50  
Samedi - 2   puce-1 Autour de Bernard MARIONNAUD - 16h40 à 17h00
Samedi - 3   puce-1 Du pouvoir des mots dans l'Histoire de France - 17h30 à 18h30
Samedi - 4   puce-1 Y a-t-il encore de vrais parigots ? », " Parigots, têtes de veaux... - 17h00 à 17h40
Dimanche - 5   puce-1 Des mots et des savoirs - 15h00 à 16h00
Dimanche - 6   puce-1 De la télévision au théâtre - 16h10 à 17h10
Dimanche - 7   puce-1 Littérature et musique : les mots de la musique, la musique des mots - 17h20 à 18h20
pucemoyenne
« Y a-t-il encore de vrais parigots ?», ' Parigots, têtes de veaux…'
 
 
Samedi 18 octobre Salle Hervé GOURDEL De 17h00 à 17h40

losange Intervenants :

puce-1 Alain PAUCARD, Écrivain.
Selection Titre de son intervention : Paris c’est foutu … Paris n’est plus Paris …
Icone livre « Paris, c’est foutu », aux Éditions Jean-Cyrille Godefroy.

puce-1 Claude DUBOIS, surnommé : Le Titi, Spécialiste du Paris populaire, Claude Dubois est journaliste et historien de Paris.
Selection Titre de son intervention : Le Paris du Musette …et de Paname …
Icone livre « Le frisson de Paname », aux Éditions de Paris - Max Chaleil.

puce-1 Jo PRIVAT Jr, Musicien, compositeur, et Muriel au chant.

losange Modératrice :

puce-1 Sylvie NORDHEIM, Écrivain, comédienne.
Icone livre « La Villa du lac »aux Éditions Lucien Souny.

losange Suivi de dédicaces.

 

 
pucemoyenne Intervenants  
 
Alain Paucard

Alain PAUCARD, né le 6 avril 1945 à Paris, est un écrivain français.

Alain Paucard, écrivain parisien dans le bon sens du terme, a publié 30 ouvrages, de l’érotisme aux biographies (Audiard), et des promenades parisiennes, dont Paris, ses rues, ses chansons, ses poèmes (Prix des Bouquinistes).

 
Chanteur de rock n’roll, appelé du contingent (dans le XVe-1965), chanteur de folk, chanteur rive-gauche, libraire, auteur de romans érotiques (1970), révolutionnaire professionnel (mal payé, y compris de retour – 1970-1972), travailleur social et, à partir de 1978, écrivain. Il publie d’abord des « polars » sous le pseudonyme farceur de Humphrey Paucard (dont L’horreur d’été, 1979, qui eut droit aux « trois interdictions»).

Également chroniqueur à Métal Hurlant, Lui, etc. (1978-82), scénariste de bandes-dessinées (notamment avec Denis Sire), il publie régulièrement depuis 1983. En 1986, il fonde le club des ronchons, dont la devise est « En arrière, toute ! »; l’objet : « étudier l’horreur du bonheur » et dont les réunions sont interdites « aux femmes, aux enfants, aux animaux et aux plantes vertes ». À ce jour le club des ronchons a publié 7 ouvrages collectifs.


Alain Paucard lit "Dictionnaire des idées obligées" (1990) par Gérard Courant 

 

  Paris c'est foutu, de Alain Paucard

Paris, c'est foutu

Paris, c’est foutu ! Comment pouvez-vous affirmer qu’une des villes les plus visitées, avec son patrimoine, ses salles de spectacle, sa gastronomie, bref, tout ce que « le monde nous envie » est foutue ?
 
Oui, une ville sans son peuple historique, expulsé vers la banlieue dès les années soixante, où les profanations architecturales (les tours, le centre Pompidou, les travaux de Mitterrand) ont cassé les perspectives, une ville que sa municipalité refuse d’agrandir, une telle ville, asphyxiée, est foutue parce qu’elle peut bien offrir les animations les plus saugrenues (Paris-Plage), elle a perdu son âme, son parler et son accent, et le tourisme de masse n’y changera rien.

Alain Paucard dresse un dernier inventaire, drôle et caustique, le sien, fait de coups de gueule, de rappels historiques mais aussi de promenades personnelles et de souvenirs touchants.

Éditeur : http://www.editionsjcgodefroy.fr/ Icone lien externe

   
   
   
Claude Dubois

Claude DUBOIS

Claude Dubois est journaliste et historien de Paris.
 
Claude Dubois, alias le Titi du Figaroscope, est l'ultime héraut4 du Paris de la rue. Né rue Rambuteau, il a vu détruire la ville, exiler son menu peuple, celui qui fut chanté au fil des siècles par une kyrielle d'écrivains. Envers et contre tout, fidèle, il a repris le flambeau de la tradition. 
Journaliste, chroniqueur presse et radio, historien disciple de Louis Chevalier, il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur Paris d'hier, dont « Paris gangster » (2004), et « Je me souviens de Paris » (2007) aux éditions Parigramme. Inconsolable nostalgique de la capitale d'antan qui berça son enfance, il fait revivre avec charme et truculence l'histoire de Paname.

Source : http://www.auvergnat.biz/  Icone lien externe

     
  La Bastoche de Claude Dubois

La Bastoche
Une histoire du Paris populaire et criminel

Le Paris de plaisirs et du crime de 1740 à 1940, par le meilleur spécialiste du sujet, mêlant avec brio récits, littérature et grande et petite Histoire.
 
Qui ne sait qu'à la Bastille, autour de la colonne révolutionnaire, faubourg Saint-Antoine, on a dansé musette au son de l'accordéon ?
En dénommant « Bastoche » la Bastille des rues borgnes et des bals, l'argot parisien a fait preuve d'un instinct très sûr. De fait, l'ouvrage de Claude Dubois est un livre d'histoire populaire, mâtinée voyou par nature, la marque de fabrique de Paname et de sa culture.
En nous entraînant dans les recoins obscurs ou hauts en couleur du quartier de la mistoufle, des gros bras et des gueules d'amour, il rend vie à deux siècles (1750-1940) de comédie urbaine, dont les échos de valses et de javas résonnent encore dans la mémoire de Paris et d'ailleurs.

Éditeur : http://www.editions-perrin.com/ Icone lien externe

C'est la valse des costauds, des beaux gosses aux gros biscotos, qui tous les soirs au musette, dansent avec leurs gigolettes... Faut pas leur monter sur les pieds, ou alors ils sont sans pitié, Quand ils dansent entre poteaux, la valse des costauds... (Claude Dubois)

     
  La rue Saint-Antoine de Claude Dubois

La rue Saint-Antoine

Rue Saint-Antoine, Claude Dubois est chez lui : il a vécu toute sa vie dans le IVe arrondissement, il est allé au lycée Charlemagne. Surtout, ses deux familles se sont rencontrées dans une vieille maison du quartier Saint-Paul - l'" hôtel Dubois-Junet des Courants d'Air ", la dénomme-t-il en riant. Sa grand-mère maternelle y a habité près de soixante ans, ses parents s'y sont connus.
 
D'un point de vue parisien, la rue Saint-Antoine décrite par Claude Dubois est un document essentiel. Gavroche y croise Jules Michelet, Georges Simenon côtoie Pierre Goldmann. Fidèle à son style Titi, Claude Dubois entremêle histoire personnelle, histoire historique, histoire littéraire, histoire des faits divers en saupoudrant ses lignes d'argot quand s'y prête l'anecdote. Bref! Un texte savoureux, souvent érudit. Claude Dubois s'apprête à ressortir La Bastoche. Si l'on y ajoute cette Rue Saint Antoine, c'est le passé populaire du Paris s'étendant de la rue de Lappe au métro Saint-Paul qui, en 2011, sera à l'honneur. L'identité native du Paname d'il y a quelques décennies, aux antipodes du Paris pour touristes sans saveur qui lui a succédé.

Éditeur : Jean-Paul Rocher Editeur Icone lien externe

     
  C'est ça Paris ? de Claude Dubois

Ça, c'est Paris ?

Chaque mercredi dans le Figaroscope, le supplément du Figaro, le Titi, alias Claude Dubois, délivre sa chronique sur Paris. L'aventure a commencé à la naissance du Figaroscope, en octobre 1987.
 
Ça, c'est Paris ! Parce que, dans ces chroniques, le Titi parle de Paris sous toutes ses facettes. Il y raconte autant la rue Saint-Denis, la rue de Lappe, qu'il y explore la gare Saint-Lazare, y narre les débuts de Maurice Chevalier, - en 1900, boulevard de Ménilmontant - relate l'amitié de Céline et de Gen Paul, - là-haut à Montmartre - ou explique comment - dans Les Misérables - près du Jardin des Plantes, Jean Valjean et Cosette échappent à Javert. A la fin du volume, un index copieux récapitule les rues visitées par le Titi, les personnages et établissements cités. Si bien qu'à ses qualités littéraires, Ça, c'est Paris ! ajoute une valeur pratique. Ça, c'est Paris ! est aussi un guide intime et secret de la capitale, celui du Titi. Deux cents ans plus tard, une sorte de Tableau de Paris à la Sébastien Mercier, quoi ! Claude Dubois l'avait déjà montré dans Des Halles au Balajo (Editions de Paûs), Apaches, voyous et gonzes poilus - L'histoire du milieu parisien de 1900 aux années 60 (Parigramme), et La Bastoche- Bal-Musette, plaisir et crime (1750-1939) (Le Félin), il a une vision bien à lui, très sentie de Paris. Celle du titi, du badaud qui, à chaque balade découvre un aspect inattendu de la ville. Qui savait la correspondance cachée entre le bas-relief ornant le 1er étage du 69, rue Mouffetard, dans le 5" arrondissement au Vieux Chêne - et celui, au 1er étage aussi, du 10, rue Tiquetonne, dans le 2e - A l'Arbre à Liège - ?

Éditeur : http://www.die-livres.com/ Icone lien externe

     
  Paris gangster de Claude Dubois

Paris Gangster
Mecs, macs et micmacs du milieu parisien

Ils s’appelaient Bébert l’Enjôleur, Jules des Sables, Jo l’Italien, Jo la Terreur, Jean le Frisé, Louis le Mexicain, Maurice des Belles Japonaises, Henri les Yeux bleus, Dédé les Diam… costauds des barrières, grossiums de la Bastille ou de Montmartre, c’était selon.
 
Pour eux, il y avait ceux qui en étaient, les sociaux, les poteaux, les vrais, les hommes… et les autres, les caves. Apaches au tournant du siècle, puis durs du milieu, leur période glorieuse sera respectivement bornée par la Grande Guerre et les années soixante. Il n’empêche, les mauvais garçons suivent la même loi, cruelle et non écrite. Pourtant, quoi de commun entre le marlou nippé blouse bleue et casquette et l’élégant à borsalino qui lui succédera, lingé comme un gangster de film américain ? La mental’. Avoir la bonne était un gage de survie.

La destruction et la reconstruction de certains quartiers parisiens dévolus au milieu pèseront lourd dans son étiolement. Depuis, le monde du crime s’est transporté dans d’autres lieux, sous d’autres formes. Ce n’est plus la même histoire. Ceux dont nous parlons ici, les voyous de l’ancien temps, avaient du panache, même si leur parcours se terminait tôt, le nez dans le ruisseau… la faute aux pruneaux.

Éditeur :http://www.parigramme.com/ Icone lien externe

     
  Jo Privat, Le frisson de Paname, par Claude Dubois

Jo Privat, le frisson de Paname

Le 3 avril 1996, mourait Jo Privat. « Quel mec ! » disent de lui ceux qui l’ont connu. À Paris, en province, là où le musette reste à l’honneur, l’âme de Jo vivifie encore les pistes de danse. Dès que l’accordéon attaque Balajo, Sa préférée ou Mystérieuse, les gambilleurs s’y bousculent. Jo Privat a dû composer sept cents valses-musette. À la fin des années 1940, son « musette swingant » avait rénové le genre. Indissociable du musicien et du compositeur inspiré, il y avait le « mec ». 
 
Ses mille et une nuits que, clope aux lèvres, Jojo racontait de sa « voix pleine de rustines ». Pur jus de chique Ménilmuche, l’accent de Jo grasseyait un argot infiniment drôle. Privat aimait les truands, le milieu, « les canailles ». Il était de ce Paris aux limites populaire-voyou indécises. Emile Vacher, pionnier du musette, avait été son maître. En sa compagnie, à 15 ans en 1934, Jo jouait déjà à L’Ange bleu, près de la place Clichy. Le monde interlope « s’y dégrippait les mollets ». Pour Jo, l’avant-guerre avait été le zénith de ce Paris de la rue. Après Le Petit Jardin du 26, avenue de Clichy, en 1937 à 18 ans, il était entré au Balajo, 9, rue de Lappe à la Bastille. À la Libération tout était reparti, et la Bastaga s’est mise à rimer avec Jo Privat. Sa légende embrayait. Un exemple superbe de culture populaire parisienne, la mémoire unique de Paris. Ou, plutôt, de Paname.

 Auteur : En 1993, avec Robert Lageat, le taulier du Balajo, Claude Dubois avait publié Des Halles au Balajo. Il entrait au coeur du célèbre bal de la rue de Lappe et de plain-pied, dans ce qu’il appelle « le Paris populaire mâtiné voyou ». Sur cet univers, Dubois a écrit ensuite Paris gangsterJe me souviens de ParisLa Bastoche - Une histoire du Paris criminelLa rue Pigalle, etc. Au Balajo, Claude Dubois s’était lié à Jo Privat, accordéoniste et argotier époustouflant. Des projets s’étaient ébauchés mais, jusqu’ici, Dubois n’avait qu’évoqué Privat. Il rend enfin hommage au roi de « la boîte à frissons », comme le facétieux Jojo aimait taquiner son instrument. 

Éditeur : http://www.leseditionsdeparis.com/  Icone lien externe

     
 
Claude Dubois, la nostalgie de son Paris

Les histoires qui se cachent derrière les mots imagés du langage populaire ont toujours passionné Claude Dubois. Son cœur balance entre le Titi parisien et Gavroche, entre le flux imagé de Céline et les argotiers du Balajo. Il garde la nostalgie du Paris populaire dont l’historien Louis Chevalier, son ami, a raconté « l’Assassinat », mais aussi du Paris mâtiné voyou de Marcantoni avec la boîte à frissons de Jo Privat.
Laissons le nous raconter sa ville. A la fin de cette première partie, une vidéo vous permettra d’entendre cet éternel conteur, amoureux de la rue, séduit par l’argot des Parigots…

.... Lire la suite ... http://www.nautesdeparis.fr/claude-dubois-la-nostalgie-de-son-paris/  Icone lien externe

 
 


Claude Dubois lit "La Bastoche" (2013) par Gérard Courant

 


Claude Dubois. Souvenirs 1. Louis Chevalier. Nostalgie

 


Claude Dubois. Souvenirs 2. Robert Lageat. Jo Privat.

 


Claude Dubois. Souvenirs 3. Maisons closes. 1ère partie.

 


Claude Dubois. Souvenirs 4. Louis-Ferdinand Céline

 


Claude Dubois. Souvenirs 5. Maisons closes. 2ème partie.

 


Claude Dubois. Souvenirs 6. Paris littérature.

 

 

   
   
Jo Privat Jr

Jo PRIVAT Jr

Quand on est le fils de JO PRIVAT Icone lien externe, que votre mère a eu la bonne idée de vous baptiser JO, on sait d'avance qu'il ne sera pas facile de se faire un prénom !

L'accordéon, il l'apprend chez Paul SAIVE le professeur de papa JO : une référence. La guitare ? Avec le grand Matelot FERRET ou encore Sarrane et Baro, sans oublier le tout jeune Boulou... Franchement, il y a pire comme influences ! Au sein de l'orchestre de son père il côtoie également Didi DUPRAT. Et tant d'autres.
Sans compter les plus grands noms de l'accordéon, amis de la famille, Gus VISEUR, Tony MURENA, Maurice VITTENET, Joe ROSSI !

 

JO PRIVAT Junior multi instrumentiste et compositeur de talent continue de promener son swing et ses belles valses sur les scènes françaises et internationales,
sans oublier le BALAJO Icone lien externe...
Une histoire de famille !

Jo Privat Jr et Muriel
Jo Privat Jr et Muriel

 

Site officiel : http://www.joprivatjr.com/ Icone lien externe

 

   
   
 
pucemoyenne Modératrice  
 
Sylvie NORDHEIM

Sylvie NORDHEIM

Longtemps comédienne au théâtre, au cinéma et à la télévision, Sylvie Nordheim n’a jamais cessé d’écrire.
À l’aube de la quarantaine, elle décide de se plonger dans les études qu’elle avait abandonnées en classe de seconde pour passer dans la foulée l’équivalent du bac, une licence, puis un CAPES de lettres modernes.
 
Après avoir enseigné quelques années le français, le latin et le théâtre dans un établissement scolaire de la région parisienne, elle donne sa démission de l’Education nationale pour se consacrer pleinement à ses deux passions : l’écriture et le théâtre.
Elle publie quatre romans aux éditions Lucien Souny (Moissons amères, 2007, version poche en 2013 ; Promesse perdue, 2008 ; La Vie en douce, 2009 ; La Villa du Lac, 2014). Son univers s’enracine dans les histoires de famille, les secrets et les passions qui les nourrissent.
Elle publie également les biographies de Bernard Marionnaud et Alain Robert aux éditions du Cherche-Midi (Un homme au parfum, 2012 ; Haute tension, 2014).  
Depuis 2009, elle anime par ailleurs des ateliers de théâtre créatif à la Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, en partenariat avec le Théâtre de l’Odéon où la troupe qu’elle dirige a joué avec succès Le Vestiaire en mars 2014 et reviendra en mars 2015 pour présenter sa nouvelle création : All in hall - Trafics, palabres et petits miracles autour d’un ascenseur en panne.
  La villa du lac de Sylvie Nordheim

La Villa du lac

Au décès de sa mère, Florence hérite d une villa non loin de Hambourg au bord d un lac, où la défunte a souhaité qu on disperse ses cendres. Intriguée, elle revient sur le passé trouble de ses parents, notamment sur la mort brutale de son père qui a bouleversé sa jeunesse. Helena et Simon s aimaient-ils vraiment ? 
 
Pour quelle autre raison une pure Aryenne issue du gotha prussien aurait-elle fui son pays en 1933 avec un médecin juif que tous les dangers menaçaient ? Toutes ces questions maintenant resurgissent. Rencontres fortuites et confessions tardives permettront à Florence de reconstituer le puzzle, jusqu à la dernière pièce qui résoudra l énigme. Ce roman plonge le lecteur dans des époques marquantes de l Histoire aux côtés de personnages fascinants, dont les trajectoires, ciselées avec lucidité, s inscrivent en contrepoint d une genèse familiale pleine de mystères.

Éditeur : Editions Lucien Souny Icone lien externe

   
 
     
     
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